Across
- Métier aujourd'hui en voie de disparition. En 1881, trois exerçaient encore à Vaux-en-Amiénois.
- Nom du saint auquel est dédiée l'église locale. Martyr, il fut le premier évêque d'Amiens.
- Nom du plus ancien magister connu du village. Il exerça la fonction d'instituteur pour garçons et filles à partir de 1860, puis que des garçons à partir de 1870 quand une seconde école fut bâtie.
- Petite sculpture, malheureusement mutilée, qui surmonte la porte sud de l'église de Vaux.
- Nom donné aux habitants de Vaux-en-Amiénois.
- Nom du maire actuel, aux commandes de la commune depuis 2008.
- Prénommé Jean, il est le plus ancien curé connu de la paroisse. Il exerça son ministère de 1540 à 1567.
- Dérivé du terme "route", ce mot picard désigne un petit sentier. C'était aussi l'appellation autrefois des gardes-forestiers. Une rue du village en porte le nom.
- Emile de son prénom, cet ancien maire de la commiune, de 1901 à 1914, était professeur au lycée Louis le Grand, à Paris. Il reçut également le grade de Chevalier de la Légion d'Honneur.
- Meuniers de père en fils. Clodomir, le dernier descendant de la famille, exploitait encore le moulin du village à la fin des années 30.
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Down
- Nom d'un des deux hameaux du village.
- Nom d'un tank allemand capturé le 14 juillet 1918 à Villers-Bretonneux par les Australiens. Il séjourna à Vaux-en-Amiénois en attendant son transfert en Angleterre en janvier 1919.
- Nom le plus ancien connu du village, cité en 1131 dans le cartulaire Saint-Jean.
- Philippe de son prénom, il créa le blason du village, qui fut adopté comme tel par l'assemblée communale en 1991.
- Instrument de musique apparaissant sur le blason de la commune, placé dans une branche de coudrier, avec l'église du village au second plan.
- Nom d'une des rues du village. Ce terme désignait le cimetière, en vieux français.
- Prénom de la tenancière du café du village, aujourd'hui disparu, de 1950 à 1961. Lieu de vie et de rencontres, l'ambiance chaleureuse qui y régnait en faisait sa renommée. On y jouait aux cartes, on y dansait le samedi, et parfois même l'estaminet servait de salle de cinéma.
- Sorte de viole à trois cordes qu'utilisaient les ménestriers pour accompagner les danses publiques, comme cela se faisait à Vaux les jours de fête au XVIe siècle.
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